Comment Fatshi peux sauver la MIBA pour relever le défi ?

Nous sommes le 13 décembre 1961 où une Société Congolaise par Actions à Responsabilité Limitée dénommée «La Société Minière de Bakwanga» en abrégé « MIBA S.A.R.L) » a été constituée. Suite à la ratification de la RDC du traité de l’ Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires « OHADA» en sigle , la MIBA a fait la
conformité de ses statuts au droit OHADA et elle est devenue Société Anonyme « MIBA SA », à partir du 12 septembre 2014. La répartition du capital social reste inchangée et l’Etat reste majoritaire à concurrence de 80 % et de 20 % pour SIBEKA Société ( Anonyme de droit belge ) et autres associé .

Le siège social de la MIBA est situé au n° 4, Place de la Coopération-Commune de Kanshi à Mbujimayi, Chef-lieu de la Province du Kasaï-Oriental.
Le plus grand atout de la MIBA demeure ses ressources et réserves encore considérables.
En effet, des différentes études menées par la MIBA depuis les années 1940, le Polygone minier (lieu où est actuellement concentrée l’exploitation industrielle) est constitué de plusieurs gisements que l’on peut énumérer comme suit :

1 Les gisements primaires constitués de 13 pipes Kimberlitiques et représentant 86% des réserves estimées ;
2 Les gisements secondaires connus (éluvionnaires et alluvionnaires) représentant 14% des réserves estimées. Il faut également y ajouter les lits de rivières ;
3 Les gisements détritiques dont on ne dispose pas de données chiffrées qui représentent une étendue totale de 7,5 km² sur 45 km² du Polygone Minier ;
4 Les anciens terrils provenant de l’exploitation et qui constituent un bonus que la MIBA pourra traiter en utilisant les méthodes modernes de traitement.

La MIBA, a dans son portefeuille, outres les PR et PE de diamant, la Minière de Bakwanga (Miba) dispose d’une réserve de deux millions de tonnes de nickel et de quatre millions de chrome Les PR d’Or et les PE de cuivre au Kasaï central .

Ce qu’il faut savoir sur Le Nickel et Chrome :
Le nickel est fréquemment associé au cobalt dans les dépôts miniers, il est particulièrement apprécié pour les alliages qu’il forme. Longtemps confondu avec l’argent ou le cuivre, le nickel est aujourd’hui utilisé pour la confection de monnaie , fabrication des moteurs d’Avion et les alliages spéciaux inoxydables dans l’industrie.
Le Nickel se vend à 40.000 USD, si vous comparez cette valeur marchande au cobalt de la Gecamines vous comprendrez que le Nickel est un produit très stratégique , avec ses deux millions de tonnes , c’est 80 Milliards USD que la MIBA néglige et la population locale meurt de faim ;

Quant au chrome, il est utilisé dans plusieurs applications dans la haute technologie. En aéronautique ( L’aéronautique comporte les sciences et les techniques ayant pour but de construire et de faire évoluer un aéronef dans l’atmosphère terrestre) ,On le retrouve dans les lames de turbines, les chambres de combustion, les habits protecteurs , etc… On l’utilise aussi dans les usines de dessalement de l’eau de mer, dans les implants orthopédiques, dans les outils de coupe. Le chrome est appliqué aussi dans le domaine de l’énergie notamment dans les centrales au gaz, les centrales nucléaires (recouvrement de cheminées,…), les panneaux photovoltaïques, et dans la pétrochimie.
Avec ces quatre millions de tonnes elle néglige 40 milliards USD .

La MIBA a été par les ressources qu’elle procurait à l’Etat sous forme d’apports en devises et sous forme d’impôts et taxes, une des grandes sociétés contributrices à l’économie nationales. Sur le plan provincial, la MIBA est un état dans un état et ses activités constituent l’ossature de la vie économique et sociale du Kasaï-Oriental voire du Grand Kasai . Son vaste complexe industriel est entouré de réalisations (Ecoles, Hôpitaux, cercles récréatifs, stades, sociétés filiales,..) qui dans le domaine social répondent aux besoins de son personnel, de leurs familles (près de 30.000 personnes) ainsi qu’à ceux de la population du Kasaï-Oriental.

Pendant plusieurs années donc presque 15 ans , la totalité de la production MIBA était envoyée à BRITMOND, une filiale de la De Beers qui avait le monopole d’achat du diamant MIBA.

En 1981, suite à l’ordonnance-loi n° 81-014 du 02 avril 1981, l’Etat Congolais confie en exclusivité à la SOZACOM la commercialisation du diamant congolais (ex Zaïre).

A partir de cette date, l’expertise, l’évaluation et la vente du diamant MIBA s’effectuent à Kinshasa.

De 1984 à ce jour, la MIBA a repris elle-même la vente de sa production, en organisant des ventes sur place à Mbujimayi, Kinshasa, Anvers, Londres et Tel Aviv.
La MIBA a exploité plusieurs systèmes de vente à savoir :

Vente exclusive avec prix fixe
Vente prix fixe par catégorie
Vente prix Windows 12 %
Vente par appel d’offre (tender)

Il y a lieu de signaler qu’avant toute exportation, le diamant MIBA est soumis à l’expertise du CEEC (Centre d’Expertise, d’Evaluation et de Certification des matières précieuses), qui donne la valeur officielle d’exportation de la marchandise conformément aux processus de Kimberley.
De 1976 à 2008, 208.595.707 carats de diamant produit par la MIBA dont détails ci-dessous ont été vendus sur le marché international:

1. ANNÉE 80 , QUANTITÉ EN CARAT :

-En 1980 : 8 001 076 carats

-En 1981 :5 753 568 carats

-En 1982 : 5 656 096 carats

-En 1983 : 5 807 217 carats

-En 1984 : 6 895 932 carats

-En 1985 : 6 977 225 carats

-En 1986 : 8 691 542 carats

-En 1986 : 8 691 542 carats

-En 1987 : 8 171 454 carats

-En 1988 : 7 935 039 carats

-En 1989 : 9 014 315 carats

2. ANNÉES 90 ,ET QUANTITÉ EN CARAT :

-En 1990 : 9 556 436 carats ;

-En 1991 : 6 851 751 carats ;

-En 1992 : 4 567 285 carats ;

-En 1993 : 4 534 539 carats ;

-En 1994 : 4 882 587 carats ;

-En 1995 : 5 669 300 carats ;

-En 1996 : 6 803 903 carats ;

-En 1997 : 6 328 296 carats ;

-En 1998 : 6 442 520 carats ;

-En 1999 : 4 732 840 carats ;

-En 2000 : 4 328 084 carats .

ANNÉES 2020 ,ET QUANTITÉ EN CARAT

-En 2001 : 6 160 251 carats ;

-En 2002 : 5 556 306 carats

-En 2003 : 6 685 105 carats

-En 2004 : 7 009 002 carats

-En 2005 : 5 666 764 carats ;

-En 2006 : 2 803 208 carats ;

-En 2007 : 589 897 carats ;

-En 2008 : 984 080 carats

-En 2009 : 0 Carat ;

-En 2010 : 0 carat ;

-En 2011 : 199 450,31 carats

-En 2012 : 523 381,30 carats …

Détruite par la mauvaise gestion, le délabrement de ses installations sans penser à l’amortissement ,l’entretien et renouvèlement des matériels de production , les détournements et le pillage des ressources, notamment durant les guerres du Congo (1997 et 2003) avec l’entrée de l’AFDL qui avait choisi la MIBA comme source de financement des guerres, un acte Diabolique de Mzée Laurent Desiré KABILA contre la MIBA ,l’entreprise a inexorablement baissé en activité.
Et sur les années de production , vous allez comprendre que c’est Joseph KABILA qui est le principal destructeur de la MIBA ,une fois élu président en 2006 , la production de la MIBA baisse vertigineusement de 5 666 764 carats en 2005 , à 2 803 208 carats en 2006 et de 2 803 208 carats , jusqu’à 589 897 carats de production en 2007 , c’est là , la destruction totale de l’entreprise , vous allez comprendre que la production était toujours bonne , mais , ce le régime qui ravissait les diamants de l’entreprise au profit des individus en substituant les grosses pierres par des petites pierres pour se faire la richesse individuelle et pour la création d’une nouvelle entreprise parallèle sur les concessions minières de la MIBA sans qu’ aucun contrat soit publié , alors que le code minier congolais oblige la publication de tout contrat minier . Dans tout ça , la MIBA n’avait rien gagné , une entreprise dépouillée de tout , mais les 20000 employés de la MIBA, pères et mères des familles restent impayés avec 200 mois d’arriérés ,vivant dans la disette la plus horrible du monde .

En 2020, un audit gouvernemental instruit par Félix TSHISEKEDI a relevé “d’importants dysfonctionnements” accompagnés de détournement et le conseil d’administration a été limogé et cinq millions de dollars ont été débloqués pour “remettre à flot cette société qui hier encore constituait la fierté de toute la nation et cet argent a été décaissé , sans faire un diagnostic réel et général .
Il faut savoir que la MIBA n’a pas seulement besoin d’un audit financier , mais plutôt l’audit général donc financier et technique pour obtenir avis des experts sérieux pour savoir qu’est ce qu’on doit faire et où on va commencer ?

Nous sommes capables de faire plus pour notre pays, nos entreprises et notre peuple, mais seulement si nous associons la volonté au savoir faire .
Prenons l’exemple d’autres pays d’Afrique par exemple la Namibie qui a des diamants terrestres et après exploitation, ils ont compris que dans quelques années leurs gisements terrestres vont se vider de diamants :

Ce pays africain de l’hémisphère sud possède, au large de ses côtes, des gisements de diamants enfouis dans les sédiments. Ces gemmes ont été charriés vers l’océan Atlantique depuis l’embouchure du fleuve Orange, au bord duquel siègent plusieurs mines de cette pierre précieuse , il faut savoir que des diamants dans les sédiments au fond de l’océan et le gouvernement Namibien a pris le courage de trouver un moyen d’exploiter ces diamants enfouis au fond de l’Ocean . Mais comment procéder ?

Le gouvernement namibien a créé une entreprise « compagnie Debmarine Namibia » en partenariat partenariat à concurrence de 50 % pour le gouvernement et 50 % de l’entreprise anglaise De Beers le Géant mondial de l’industrie diamantaire , très présent dans l’extraction de diamant en Namibie
Aujourd’hui
Au large des côtes de la Namibie vogue plus de 4 navires miniers et le plus connu est le navire minier de plus de 170 mètres de long et pesant près de 21 000 tonnes : le MV Mafuta. Son armateur, le conglomérat diamantaire De Beers (filiale d’Anglo American), l’avait d’abord nommé « Peace in Africa », symbole d’une alternative aux diamants de conflits. Maintenant sous la responsabilité de Debmarine Namibia, la coentreprise entre De Beers et le gouvernement namibien, « le boucher » (son surnom), drague lentement les fonds marins à la recherche des précieuses pierres qui orneront les parures et les bijoux vendus dans le monde entier.

Déjà en 2017, le navire assurait à lui seul près de la moitié de la production annuelle (calculée en carats) du conglomérat. Ce mastodonte explore une concession de 6 000 kilomètres carrés dans l’Atlantique, au large des côtes de l’Afrique australe.

Pour ce faire, le Mafuta est équipé d’un tuyau qui aspire les sédiments marins pour les envoyer dans une machine qui extrait automatiquement les diamants avant de rejeter en mer la matière non désirée. Les marins et les ouvriers à bord n’ont pas à accès à la précieuse cargaison qui est stockée suivant un protocole strict. En revanche, les machines d’extraction s’avèrent particulièrement dangereuses. En premier lieu, la force d’aspiration du tuyau représente un danger immédiat pour l’intégrité physique des marins.

et le gouvernement, a produit 1,2 million de carats, les deux tiers du total extrait du pays.

Et pour faire obstacle des pirates et vole de diamant Une escorte est mise en place .
Il ne faut qu’un petit quart d’heure de vol en hélicoptère pour se poser sur le pont du navire amiral de sa flotte, le Mafuta. Plus de 170 mètres de long, 33 mètres de haut, 21 000 tonnes et 98 marins à bord. « C’est le plus gros bateau spécialisé dans l’extraction de diamants sous-marins au monde.

A 100 mètres sous sa quille, le « boucher » désosse patiemment les fonds marins à raison d’un kilomètre par heure. Un tuyau arrache les sédiments, qu’il aspire jusqu’au pont du navire, où ils sont hachés, lavés puis, pour l’essentiel, recrachés dans l’océan. Seul le suc diamantifère de cette mélasse, repéré par rayons X, est avalé dans les entrailles du bateau.

Là, dans une partie de la cale mieux protégée que les coffres de Fort Knox, les gemmes sont nettoyés et scellés dans des boîtes de conserve. Tout est automatisé, à aucun moment une main humaine ne doit toucher les pierres. Et pour éviter de tenter d’éventuels pirates, la cargaison du navire est évacuée sous escorte trois fois par semaine jusqu’à Windhoek, la capitale namibienne.
Debmarine Namibia n’a pour l’heure couvert que 10 % de sa concession de 6 000 km2 dans l’Atlantique. Mais elle est persuadée de tenir le bon filon. Ses pierres, d’une qualité rare, s’arrachent à plus de 600 dollars le carat, plus de deux fois celui des diamants extraits par De Beers au Botswana voisin.

Prenons un autre cas en Afrique de BOTSWANA .

Avec une population d’un peu plus de deux millions de personnes, le Botswana était historiquement rural, vivait de l’agriculture et présentait un potentiel économique limité. Mais la découverte de la mine de diamants d’Orapa en 1967 a transformé le pays en un modèle de développement et de démocratie en Afrique.
Avec une population d’un peu plus de deux millions de personnes, le Botswana était historiquement rural, vivait de l’agriculture et présentait un potentiel économique limité. Mais la découverte de la mine de diamants d’Orapa en 1967 a transformé le pays en un modèle de développement et de démocratie en Afrique.

Le pays a réussi à éviter les effets de la « malédiction des ressources » qui a frappé de nombreux États africains tels que la Sierra Leone, l’Angola, le Libéria, la République Centrafricaine ou le Congo. En effet, on parle souvent des « diamants de sang », une industrie meurtrière et néfaste pour l’Afrique, mais on n’aborde que très rarement le sujet des « diamants du développement ». Le côté plus brillant de la médaille.

L’industrie du diamant au Botswana contribue actuellement à 39 % des recettes fiscales et 25 % du PIB, faisant de l’exploitation minière, l’activité économique la plus importante du pays. Les pays d’Afrique Australe, et plus particulièrement le Botswana, prouvent que si ces revenus générés par les diamants sont bien utilisés, ils peuvent apporter des avantages concrets et non négligeables en termes de croissance économique et de développement social

Avec quatre gisements parmi les plus riches au monde, la production de diamants du Botswana représentait jusqu’en 2019 autour de 24,2 millions de carats, ce qui classait Gaborone au deuxième rang mondial des producteurs, derrière la Russie. Pas moins de 65 % de l’approvisionnement de la compagnie De Beers, partenaire privilégié du pays depuis son indépendance en 1966, est extrait des sites diamantifères du pays.

Selon les données du site de statistiques Statista. com, le pays disposant des plus grandes réserves de diamant en 2016 est l’Australie avec 210 millions de carats. Le pays-continent est suivi de la RD Congo (150 millions de carats), du Botswana (130 millions de carats), de la Russie (100 millions de carats), de l’Afrique du Sud (70 millions de carats). Parmi les autres nations riches en diamants, on retrouve en Afrique, la Sierra Leone, le Lesotho, l’Angola, la Namibie ou encore le Ghana et le Zimbabwe.
Vous imaginez que nous sommes deuxième pays au monde, mais , rien ne marche dans ce secteur .
Que faire ?
La MIBA faisait vivre près de 40.000 personnes, employés et familles sans compter les fournisseurs et les sous-traitants , sans compter des entreprises connexes qu’elle avait créé ; prenons le cas de La Biopharco qui a été inaugurée le 20 janvier 1990 avec un capital social de 2.243.300.000 zaïres représenté par 22.433 parts sociales de 100.000 zaïres chacune disons 22.431 parts souscrites respectivement par la Société Minière de Bakwanga et 2 parts sociales souscrites respectivement par le Docteur OWONDA AKINDJA (Ancien Directeur Médico-social de la minière de Bakwanga) et Monsieur KABONGO NFUILA (Ancien Directeur des Etudes, recherches et développement) de la MIBA à titre symbolique.

La Biopharmaceutique du Congo (Biopharco) est une usine spécialisée dans la production de solutés pour la perfusion des malades à Mbujimayi.

Depuis 2001, la plus-value a été incorporée à son capital social et le coût global du projet est évalué à 3.500.000$ (dollars américains trois millions cinq cent mille) tandis que la capacité de production installée est de 100.000poches par an.

Objet social
C’était l’activité principale de commercialisation des produits pharmaceutiques. Mais jusqu’à ce jour, seuls les solutés massifs injectables sont fabriqués et vendus.

Ce qu’il faut faire à la MIBA, c’est lui trouver un partenaire sérieux . Vous vous rappelez que MIBA avait signé en date du 13 avril 2003, pour une période de quatre ans, un contrat fort controversé avec EMAXON, une société du groupe DGI (Dan Gertler International). En contrepartie d’un prêt de 15 millions de dollars américains, la MIBA s’était engagée à vendre 88 % de sa production à EMAXON, les 12 % restants étaient proposés au tender. Cet accord prévoyait une ristourne de 3% sur les achats de diamants ainsi qu’une décote sur les prix. Beaucoup d’experts du diamant estimaient que ce contrat était léonin et sapait les intérêts de la MIBA. Des analystes estimaient que l’entreprise perdait quelque 2 millions de dollars par mois du fait de la sous-évaluation des diamants. L’accord devait permettre à la société d’acquérir de grosses machines, dont la durée de vie était estimée à 50 ans.
Et aujourd’hui d’aucun n’ignore que Dan Gertler n’a jamais été un partenaire sérieux , cédant aux pressions de régime Fatshi pour remettre la RDC , dans ce droit, il a remis les permis et titres d’exploitation de mines et pétrole .
D’où moi je propose au Chef de l’Etat de convaincre De Beers .

De Beers est un conglomérat diamantaire sud-africain. Fondée en 1888 pour exploiter les mines sud-africaines, la société De Beers est aujourd’hui en activité dans de nombreux pays (Botswana, Namibie, Afrique du Sud). Pendant la majeure partie du xxe siècle, De Beers s’est efforcée de monopoliser la fourniture de diamants bruts à tous les diamantaires et à tous les ateliers de taille du diamant dans le monde, parvenant ainsi à maîtriser le marché, fixer les prix et éviter leurs fluctuations en les maintenant à un haut niveau. La domination de la De Beers sur la commercialisation mondiale du diamant est cependant passée de 90 % (dans les années 1980) à 40 % au début des années 2010.

Si nous avons un partenariat avec De Beers la MIBA sera à la hauteur et notre secteur diamantaire va atteindre le niveau et la perfection pour le bien de la population , car De Beers l’a prouvé pour tout où , elle opère .
Aujourd’hui , le géant mondial de l’industrie diamantaire De Beers, commande un navire, ce n’est pas pour transporter les pierres précieuses sur l’océan. Son futur bateau de 177 mètres, en construction dans les chantiers navals du groupe néerlandais Damen à Mangalia (Roumanie), servira à l’extraction off shore de diamants sous-marins. Il doit être livré en 2022 et viendra s’ajouter à une flotte de navires existants.

La commande, d’une valeur de 468 millions de dollars USD , alors que la MIBA manque que 150 millions USD pour sa relance , nous devons penser utile .

Me CHRIS BAKADIFUILA

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